Ouest-France : Pluvigner. Les élèves de Sainte-Anne visitent le site du Bégo.

Ouest-France. Juillet 2021

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Ouest-France 14/05/2021 : Pluvigner, le Souvenir français poursuit ses activités

Article Ouest-France 14/05/202

Pluvigner. Le Souvenir français poursuit ses activités

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Concours scolaire : l’école Ste-Anne de Bieuzy-Lanvaux en route pour le jury départemental

A la date limite prévue par le règlement, soit le 2 avril 2021, la classe de CM1-CM2 d’Hélène Nizan, directrice de l’école Ste-Anne de Bieuzy-Lanvaux a remis au président du comité Auray-Pluvigner le document produit par ses élèves.

Couverture

Couverture

Sommaire

Sommaire

La couverture et le sommaire

Orné d’une couverture sculptée par un papa, le dossier expose de façon synthétique le rôle des femmes dans la Grande Guerre, en balayant la vie quotidienne des femmes de soldats, mères et épouses restées seules pour gérer « la base arrière », le travail à la maison, aux champs et dans les usines…, le réconfort apporté par infirmières et marraines de guerre, sans oublier les femmes engagées dans la résistance et l’espionnage.

Dessin 2

Dessin 2

Dessin 1

Dessin 1

De nombreux dessins et illustrations bien choisis

Avec le souci du respect du format imposé (25 pages), les enfants ont composé un très beau document, fruit d’un travail certain en classe, et de recherches approfondies, notamment grâce à l’aide de Pluvigner-Patrimoines (avec une visite aux archives départementales du Morbihan). 

Une page parmi d'autres

Une page parmi d’autres

Bien illustré, avec des images d’époque et des dessins, ce document est surtout riche des commentaires rédigés par les enfants, qu’ils ont pris le soin d’écrire eux-mêmes et plus encore de lire dans un document vidéo joint au dossier sur une clef USB. Quant au message de Paix, c’est une belle guirlande de colombes porteuses des vœux de chaque élève : une idée encore très originale, pour parachever ce bel exercice.

Échange de correspondances

Échange de correspondances

Sans aucun doute, les enfants ont découvert beaucoup de choses sur la dure vie de leurs arrière-arrière-grands-mères, qui ont fait « tourner » la France, l’ont parfois payé de leur vie, de maladie ou d’épuisement voire devant un peloton d’exécution pour des espionnes, mais n’ont pas eu la reconnaissance de leur dévouement : ni le droit de vote (accordé seulement en 1945 sur proposition du Général De Gaulle) ni le nom sur les monuments aux morts pour les anonymes… Tel était le premier but du concours : transmettre le flambeau du souvenir aux générations successives en leur inculquant, par la connaissance de l’histoire, le sens du devoir, l’amour de la patrie et le respect de ses valeurs.

Désormais en lice pour le classement départemental, souhaitons à ces jeunes Pluvignois de figurer en bonne place sur le podium, comme les années précédentes. Mais si la concurrence sera rude, comme l’atteste déjà le dossier très original remis par la classe de St-Melec de Plumelec, l’essentiel n’est-il pas de participer ?

La concurrence sera rude

La concurrence sera rude

Verdict le 2 juillet prochain, lors de la grande journée mémorielle à Vannes et Sainte-Anne d’Auray. D’ici là, le comité récompensera les élèves, en présence de Madame Diane Hingray, maire de Pluvigner et d’autres autorités, à l’occasion d’une cérémonie et par une visite… surprise !

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23 janvier 2021 : le Souvenir Français entretient la mémoire du B-17 « Beats Me !? »

Samedi 23 janvier 2021, en dépit des mesures sanitaires à respecter, une petite délégation du comité Auray-Pluvigner du Souvenir Français, conduite par son président Didier ROZE, ainsi que M. François GICQUEL et Laurent BAYEUL, respectivement présidents de la section UNACITA de Pluvigner et de l’Amicale Militaire du Loch de Brandivy, venus avec leurs porte-drapeaux, ont honoré la mémoire des 7 aviateurs du bombardier B-17 « Beats Me !?  », tombé dans la forêt de Kéronic entre Camors et Pluvigner il y a 78 ans, le 23 janvier 1943.

Le B-17 « Beats Me !? »

Le B-17 « Beats Me !? »

Au cours d’une brève cérémonie, au square du Souvenir Français au bourg de Pluvigner ont été lus les noms de ces jeunes Américains morts pour la liberté de notre pays occupé par l’Allemagne nazie :

  • Lieutenant Joseph HAAS, pilote, mort aux commandes de l’avion
  • Sous-lieutenant Roy. W. CHRISTIANSON, copilote, retrouvé sans parachute à 100 m de l’avion sur un tas de pierres
  • Sergent-chef Antone PACHECO, mécanicien,
  • Sergent Pete SORIA, mitrailleur de tourelle ventrale,
  • Sergent John H. SHERMAN, mitrailleur latéral droit, éjecté de l’avion lorsqu’il a basculé sur l’aile après avoir été touchée par une bombe amie ; il a été tué par des soldats allemands alors qu’il tombait en parachute dans la ria d’Etel ;
  • Sergent Jerry DOBBINS, mitrailleur latéral gauche,
  • Sergent Wayne O. STEVENS, mitrailleur de queue, probablement tué par la bombe amie qui a détruit une grande partie de l’empennage et mis l’avion en perdition, le livrant un peu plus tard au feu de deux chasseurs Focke-Wolfe 190.
L’équipage du « Beats Me !? »

L’équipage du « Beats Me !? »

 Le dépôt de gerbe fut suivi de la sonnerie aux morts, de la minute de silence et des hymnes nationaux de nos deux nations.

Cérémonie à Pluvigner

Cérémonie à Pluvigner

Le dispositif s’est déplacé ensuite au Mané-Ihuel en Camors, près du lieu du crash, pour un hommage à l’endroit où a été retrouvé le corps du copilote, site entretenu avec dévotion par quelques adhérents du comité. Le même cérémonial fut respecté, avec les sonneries jouées au bugle par le musicien de la « Clique du SF », Gilles LEMOINE.

Cérémonie à Camors

Cérémonie à Camors

 Ce fut un bref mais émouvant moment de mémoire, car il est essentiel de ne pas oublier : « A nous le Souvenir, à Eux l’Eternité », telle est en effet la devise du Souvenir Français. Et nos amis américains, qui sont venus à 23 en juin 2018, sont heureux de recevoir chaque année des photos des cérémonies organisées par le comité le 23 janvier et par la municipalité le 8-Mai.


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28 janvier : une date doublement historique

Il y a 150 ans, le 28 janvier 1871, l‘armistice franco-allemand était conclu entre le Gouvernement de la Défense nationale et le gouvernement impérial allemand, mettant fin aux combats de la guerre franco-allemande de 1870.

Allégorie de la France signant l'Armistice (Gravure de l'Illustration du 11 mars 1871)

Allégorie de la France signant l’Armistice (Gravure de l’Illustration du 11 mars 1871)

En effet, après les dernières tentatives pour forcer le siège de Paris et les échecs des armées de la Loire, du Nord et de l’Est, la situation de la France parait désespérée.  Le 23 janvier, Jules Favre, ministre des Affaires étrangères du Gouvernement de la Défense nationale, rencontre le chancelier allemand Bismarck à Versailles. Les exigences allemandes sont importantes mais le 25, le gouvernement français donne son accord sur les conditions de l’armistice, signé par Jules Favre le 26, et officialisé par le Journal officiel le 28.

Le traité de Francfort, qui mettra un terme définitif à la guerre, est signé le 10 mai 1871 : la France perd l’Alsace (moins Belfort), ainsi qu’une partie de la Lorraine.

La perte de l’ « Alsace-Lorraine »

La perte de l’ « Alsace-Lorraine »


Le conflit a fait 139 000 morts dans le camp français (au combat ou de maladie), et 51 000 du côté allemand.

N’oublions pas les quelque 509 000 combattants français prisonniers, dont 420 000 détenus en Allemagne, 4 000 internés en Belgique et 85 000 en Suisse. La plupart des prisonniers français restèrent captifs en Allemagne de 2 à 10 mois, certains ne revenant que plusieurs mois après la fin de la guerre et le traité de paix. 18 000 prisonniers français morts dans les camps sont enterrés en Allemagne.

Ces soldats sont « Morts pour la Patrie » puisque la mention honorifique posthume « Mort pour la France », reconnaissant son sacrifice au service de la France, n’a été instituée par la loi que le 2 juillet 1915 avec effet rétroactif à compter du 2 août 1914, date du début de la 1ère  guerre mondiale.

Par ailleurs, ce n’est que le 28 janvier 1921, il y a donc 100 ans aujourd’hui, que le Soldat Inconnu rejoignait sa dernière demeure sous l’Arc de Triomphe.

Rappelons en effet que si le cercueil, choisi par le soldat Auguste THIN le 10 novembre 1920 dans la citadelle de Verdun, qui fait une entrée solennelle sous l’Arc de triomphe à Paris, le 11 novembre 1920, placé sur la prolonge d’artillerie d’un canon de 155, mais n’est mis en terre que le 28 janvier 1921, en présence des autorités civiles et militaires, dont les maréchaux qui se sont illustrés lors de la Première Guerre mondiale (Foch, Joffre et Pétain). Sont également présents : le ministre belge des Affaires étrangères, Henri Jaspar, le Premier ministre britannique, David Lloyd George, et un représentant du Portugal. À 8h30 du matin, les troupes présentent les armes. Le ministre de la Guerre, Louis Barthou, s’incline devant le cercueil et déclame : « Au nom de la France pieusement reconnaissante et unanime, je salue le Soldat inconnu qui est mort pour elle ».

 

 

Inhumation solennelle du Soldat inconnu, le 28 janvier 1871

Inhumation solennelle du Soldat inconnu, le 28 janvier 1871

Les sept autres dépouilles non choisies lors de la cérémonie du 10 novembre 1920 reposent au cimetière militaire du Faubourg Pavé, près de Verdun, dans le « Carré des sept inconnus », entretenu par le Souvenir Français.

Le carré des 7 inconnus

Le carré des 7 inconnus

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Devoir d’histoire et travail de mémoire : des collégiens à la recherche des Poilus

Dans le cadre de l’offre pédagogique sous l’égide de Conseil départemental du Morbihan, le Souvenir Français propose des interventions dans les collèges publics et privés du département sur le thème du  « devoir d’histoire et travail de mémoire ».

Des élèves très vite passionnés par les éléments recueillis en quelques clics sur un ancêtre jusqu'alors inconnu

Ainsi, une trentaine d’élèves du collège Jules Simon de Vannes  a pu s’initier le 10 décembre à la recherche sur Internet des éléments relatifs à un ancêtre, un ancien élève du collège ou toute autre personne choisie par eux : état-civil (naissance, mariage…), fiche matricule, historique du ou des régiments dans lequel a servi le Poilu, et pour les  « Morts pour la France », fiche « Mémoire des Hommes », lieu de sépulture, inscription du nom sur un monument aux morts…

Le lendemain, la séance de travaux dirigés en  salle informatique a permis de vérifier combien ses recherches passionnaient ces jeunes gens qui découvraient pour beaucoup un arrière-arrière-grand-père, héros anonyme de la Grande Guerre, parfois victime du devoir et pour certains oubliés de l’histoire familial voire de la mémoire collective. En effet, pour quelques-uns, ces recherches ont mis en évidence que le nom du Poilu Mort pour la France n’ait été inscrit sur aucun monument aux morts.

Des élèves très vite passionnés par les éléments recueillis en quelques clics sur un ancêtre jusqu'alors inconnu

Des élèves très vite passionnés par les éléments recueillis en quelques clics sur un ancêtre jusqu’alors inconnu

De quoi encourager les élèves à faire des recherches approfondies et constituer un dossier de demande d’inscription au maire de la commune de naissance ou de dernier domicile du héros oublié. Et probablement également de valoriser ce travail de recherche en le présentant au brevet des collèges, dans le cadre d’un travail personnel à soutenir en mai prochain.

Un travail de mémoire concret, qui amène les jeunes générations à découvrir le sacrifice de nos aînés, d’autant plus touchant qu’il s’agit d’un ancêtre, qui les sensibilise au « Devoir de mémoire »… et leur fait découvrir également les actions du Souvenir Français en la matière.

 

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Le Souvenir Français honore la mémoire des soldats oubliés

Il est impressionnant de voir que dans chaque commune du Morbihan, si petite soit elle, un monument aux morts a été élevé pour honorer la mémoire d’un si grand nombre de morts pour la patrie. Et l’on pourrait croire qu’au vu du grand nombre de noms gravés dans la pierre, les listes sont complètes et bien à jour pour rendre hommage aux soldats « morts pour la France » (MPF) depuis1914 : guerre de 1939-1945, guerre d’Indochine, guerre d’Algérie…

Or, pour des raisons qui ne sont pas toujours faciles à identifier, il s’avère que nombreux sont les « soldats oubliés ». Et si une ordonnance du 28 décembre 2015, transposée dans le Code des pensions militaires d’invalidité et des victimes de guerre, stipule en son article L515-1 que « Lorsque la mention «  Mort pour la France  » a été portée sur l’acte de décès […], l’inscription du nom du défunt sur le monument aux morts de sa commune de naissance ou du dernier domicile ou sur une stèle placée dans l’environnement immédiat de ce monument est obligatoire », force est de constater qu’il reste encore un certain travail à accomplir pour sortir de l’oubli ces malheureuses victimes du devoir.

La tombe du Soldat inconnu sous l’Arc de Triomphe à Paris

La tombe du Soldat inconnu sous l’Arc de Triomphe à Paris

C’est ainsi que quelques adhérents du comité Auray-Pluvigner du Souvenir Français, passionnés d’histoire et de généalogie, se sont engagés dans des recherches, souvent longues et parfois difficiles, pour retrouver les traces des héros oubliés. En effet, i faut pour cela croiser les fichiers dans les archives ouvertes – Mémoire des Hommes, état-civil et fiches matricules dans les archives du Morbihan ou d’autres départements -, mais aussi d’autres sites comme MemorialGenWeb, pour s’assurer que les Morts pour la France ont bien leur nom inscrit sur au moins un monument aux morts. Et dans la négative, entreprendre les démarches pour que l’hommage désormais prévu par la loi leur soit rendu.

À Plumergat, 14 « Morts pour la France » ne sont plus oubliés et 11 « Morts pour la Patrie » sont honorés

En 2018, M. Laurent Danibo, habitant de Plumergat et passionné d’histoire et de généalogie, découvre que l’un de ses aïeux, Mathurin Pierre Marie Léopold DANIBO, est mort au champ d’honneur dans les premiers jours de la 1ère guerre mondiale, mais aussi que son nom n’est pas gravé sur le monument aux morts de la commune comme celui des de 5 Plumergatais morts comme lui le 27 août 1914 (le jour le plus meurtrier de l’histoire de l’armée française : 25 000 tués et disparus !) et au même endroit, à Sailly-Saillisel dans la Somme.

 
La fiche « Mémoire des Hommes » de Mathurin DANIBO

La fiche « Mémoire des Hommes » de Mathurin DANIBO

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80 ans après, la mémoire de quatre aviateurs britanniques honorée à Pluneret

Il y a 80 ans, le 22 novembre 1940, le Bomber Command de la Royal Air Force lance un raid nocturne sur la rade de Lorient pour y mouiller des mines afin de couler les sous-marins allemands qui partent en mission ou en reviennent, ou a minima de gêner leur approche du port et les rendre ainsi vulnérables à des attaques aériennes. Trois bombardiers légers Handley Page Hampden participent à cette mission.

Un Handley Page Hampden

Un Handley Page Hampden

Les deux premiers accomplissent leur mission sans encombre. Le troisième, le Hampden L4194, quitte sa base de Finningley (près de Leeds dans le Yorkshire) à 17 h 10. et vers 19 h 15, largue sa mine de 600 kg, à une altitude comprise entre 190 et 250 m. Il met cap au nord mais il est touché par la Flak et prend feu. Il survole Auray, se déleste d’une bombe dans la carrière Bellego au lieu-dit Kerroussin,survole le vallon et tape dans un talus de châtaigniers au lieu-dit La Croix Percée à Pluneret. Les quatre membres d’équipage, tous âgés de 19 – 20 ans seulement, périssent sur le coup ; ils sont enterrés sur place sur ordre des Allemands. Le 27 juin 1945, leurs dépouilles ont été exhumées par une équipe de recherche de la Royal Air Force et transférées au cimetière de Boismoreau à Vannes où ils reposent depuis aux côtés des cinq membres d’équipage du bombardier Wellington BJ768  (squadron 142) tombé le 8 novembre 1942 à Grand-Champ.

Les tombes au cimetière de Boismoreau

Les tombes au cimetière de Boismoreau

Ce furent les premiers aviateurs alliés tombés dans le Morbihan et les premières victimes  d’une longue liste, entre 1940 et 1944, puisque 650 appareils alliés ont été abattus au-dessus de la Bretagne ou au large de ses côtes.

L’hommage de la commune de Pluneret

Pour leur rendre hommage, la municipalité de Pluneret a décidé d’élever sur le lieu du drame une stèle à la mémoire des quatre jeunes aviateurs morts au combat en terre de France, et de poser sur leurs tombes à Vannes une plaque commémorative.

La plaque qui sera déposée sur les tombes au cimetière de Boismoreau à Vannes

La plaque qui sera déposée sur les tombes au cimetière de Boismoreau à Vannes

Prévue en 2019, la cérémonie avait été reportée à 2020 pour avoir le temps de tenter de retrouver des membres des familles. Une a pu être identifiée à ce jour. Hélas, la crise du COVID et la quarantaine imposée à l’arrivée en France et au retour en Angleterre n’ont pas permis d’inviter ces personnes, âgées au demeurant. De plus les mesures sanitaires actuelles limitent la participation à des cérémonies, même en plein air.

Néanmoins, Monsieur Franck Vallein, maire de Pluneret, a tenu à inaugurer la stèle ce samedi 21 novembre en présence des personnes du groupe de travail qui ont œuvré depuis deux ans pour l’érection de ce monument, à l’occasion d’une très brève cérémonie, avec un dépôt de gerbe et un hommage aux morts.

Cérémonie du 21 novembre 2020 sur le lieu du crash

Cérémonie du 21 novembre 2020 sur le lieu du crash

La stèle en contrebas du lieu où l’avion s’est écrasé

La stèle en contrebas du lieu où l’avion s’est écrasé

Le Souvenir Français, acteur de cette valorisation mémorielle avec M. Gosselin du Morbihan Aéro Musée de Meucon et M. Le Mer de Sainte-Anne d’Auray, était présent avec son drapeau pour cet hommage aux quatre aviateurs disparus.

Et si les conditions sanitaires le permettent, les cérémonies à Vannes et Pluneret avec les familles sont reportées à 2021.

 

 

 

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Quête de la Toussaint : 2020 est bien une année très particulière

Comme dans bien des domaines, la quête 2020 aura été impactée par la crise sanitaire du COVID-19. En dépit d’un remarquable effort de communication du Siège (vidéos sur YouTube, article de presse dans le Figaro, reportage sur des chaînes télé, nouvelles affiches choc, flyers…) relayé au plan local, la quête s’est effectuée cette année dans un contexte très particulier, avec un certain impact sur son produit. Mais l’essentiel a été sauvé, et le public bien sensibilisé aux efforts entrepris pour la sauvegarde des tombes des « Morts pour la France », comme l’illustre le reportage suivant diffusé sur la chaîne TébéSud : https://www.tebesud.bzh/videod/ff03xz.

Affiche

Affiche

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11-Novembre 2020 : une édition bien particulière

Ce 11-Novembre 2020 devait être une journée de commémoration importante : en cette année du 150e anniversaire de la guerre de 1870, ce 11-Novembre était celui du centenaire de l’arrivée su Soldat inconnu sous l’Arc-de-Triomphe et le jour choisi par le Président de la République pour faire entrer au Panthéon les cendres d’un des 8 millions de combattants de la Grande Guerre : Maurice Genevoix, un Poilu qui sut si bien raconter la vie de ses camarades au front.

11 novembre 1920 : le Soldat inconnu arrive sous l’Arc-de-Triomph

11 novembre 1920 : le Soldat inconnu arrive sous l’Arc-de-Triomphe

Mais la pandémie de COVID-19 a sérieusement contrecarré l’organisation des cérémonies envisagées, le nombre de participants étant très limité au plan local (6 personnes maximum !) et le public prié… de rester confiné. Néanmoins, malgré une météo incertaine et des directives sanitaires strictes de la préfecture, scrupuleusement respectées, le comité Auray-Pluvigner du Souvenir Français a pu participer, à l’invitation expresse des trois maires (récemment élues), aux cérémonies organisées ce 11 novembre 2020 en comité très restreint.

Leur déroulement a été bref, puisque se limitant essentiellement :

  • à la lecture de l’ordre du jour du maréchal Foch ;
  • à la lecture du message de Mme Geneviève Darrieussecq, ministre déléguée auprès de la ministre des Armées, chargée de la Mémoire et des Anciens Combattants ;
  • à la lecture des noms des 20 « Morts pour la France » de l’année écoulée ;
  • au dépôt de gerbes, suivi de l’instant de recueillement (minute de silence) et de l’Hymne national chanté par les quelques personnes présentes.  

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